L’atterrissage de Gloria à la Barbade a été suivi quelques heures plus tard par celui de Oysterbar, handicapé car barrant avec la barre de secours pour l’arrivée au port, ses drosses de barre étant toujours hors d’usage.
Pendant que Holger racontait leur mésaventures à l’équipage de Gloria, Karin s’est retournée et a fait semblant de mordre le rail de fargue de son bateau pour montrer sa frustration et sa colère d’avoir enduré cette épreuve.
Le bateau suivant était Tourterelle, dont l’équipage est l’un de ceux qui s’étaient dérouté pour porter assistance à Oysterbar. Les premiers bateaux arrivés ont laissé la place sur le ponton d’accueil dès les formalités effectuées, trois autres voiliers arrivant juste derrière.
Plus petit bateau de la flotte avec 36 pieds, Witte Kreeft (homard blanc en hollandais) a réalisé une traversée particulièrement rapide, ne concédant que quelques heures à des bateaux plus rapides.
La dernière arrivée du jour était celle de Peer Gynt, l’un des 11 bateaux du Barbados 50 mené par un couple seul.
Il y a maintenant une équipe complète en permanence dans les bureaux à côté du ponton d’arrivée : santé, douanes, et immigration. Les formalités se font rapidement et efficacement.
La plupart de la flotte a été logée dans le bassin central du Carénage, juste à côté de l’Independence Square… et de là où tout se passe.
Laridae est l’un des bateaux du Barbados 50 qui a été en contact avec des écoles locales de la Barbade pendant la traversée de l’Atlantique, et cette visite n’est que la première d’une série de visites prévues pendant les célébrations de l’indépendance.
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