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Le ballet des arrivées continue, les enfants sont partout !

Par une magnifique journée ensoleillée, et après une traversée de 19 jours, les voiliers Deiopea et Shuti sont arrivés en Martinique presque en même temps, à peine un mille les séparant sur la ligne d’arrivée. Les équipages des bateaux arrivés les jours précédents étaient tous sur le ponton pour un émouvant et chaleureux accueil.

Deiopea vogue vers la ligne d’arrivée

 

Un chaleureux comité d’accueil pour Deiopea

 

La joie de Shuti à l’arrivée

 

En fin d’après-midi, le catamaran Happy Koumata, puis juste avant le coucher du soleil, le monocoque Lazy Bones faisaient leur entrée dans la marina, juste à temps pour profiter du deuxième cocktail de bienvenue organisé pour l’Atlantic Odyssey, et retrouver les 85 participants déjà présents au Marin.

L’équipage de Happy Koumata

 

L’équipage de Lazy Bones

 

La soirée était animée par un groupe martiniquais de musiciens et de danse, groupe renforcé par la participation au micro de Jimmy lui-même et de Nicolas du bateau Alba aux drums !

Jimmy et Nicolas avec les musiciens au cocktail de bienvenue

 

Le voilier Paloma n’a pas eu la chance de pouvoir arriver avant la nuit, handicapé par un problème de moteur. Après une nuit au mouillage de Saint-Anne, Marc-Anton a découvert avec horreur le lendemain matin en plongeant sous la coque qu’une pale de l’hélice avait disparu, et que la chaise d’arbre était arrachée de la coque. Un remorquage par la SNSM (Société Nationale de Sauvetage en Mer) a été organisé, et avec l’aide du personnel de la marina, le bateau et son équipage ont finalement pu rejoindre leur place à la marina dans l’après-midi.

Le voilier Paloma remorqué par la SNSM et aidé pour la manœuvre par Jean-Marie de la Marina du Marin

 

Le soulagement de la famille de Paloma après leur arrivée difficile

 

Entretemps, le catamaran Elessis et le monocoque Walden terminaient leur périple après une traversée confortable et sans aucun problème.

L’équipage familial de Elessis

 

Walden très heureux de leur traversée

 

Cela n’a pas été la même histoire pour Lord Jim dont le pilote automatique est tombé définitivement en panne trois heures seulement après le départ de Lanzarote. L’équipage, très motivé, a immédiatement décidé de continuer et de barrer à la main ce voilier de 40 pieds pendant toute la traversée, totalisant pas moins de 480 heures à la barre!

Le valeureux équipage de Lord Jim, après 20 jours à la barre!

 

Parmi ces huit bateaux, quatre équipages familiaux réunissaient à eux seuls 12 enfants, tout contents de retrouver leurs copains déjà arrivés et de pouvoir enfin gambader sur les pontons !

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